Préambule

PRÉAMBULE

J’ai très peur d'un seul truc dans la vie, de vivre pour… rien.


Je flippe à l’idée de me retrouver vieux, sur mon lit de mort, et de me dire «quoi ? C’est tout ?».


Alors j’essaie de faire aujourd’hui ce que je ne pourrais pas faire demain.

Tu t'es déjà retrouvé au milieu d'un énorme orage en pleine nuit, seul, dehors avec ton appareil photo à te cramer la rétine à chaque impact de foudre qui tombe à moins de 500 mètres ?

Bon faut déjà être bien allumé mais,  ça, c’est ce qui me fait vibrer.


                                                                                                 



Bonjour à vous deux, comme dit sur la page précédente,  je m’appelle Sébastien Borie, j’ai 29 ans et je viens de Saint-Vite dans le Lot-et-Garonne.

Passionné par la photo depuis mon enfance (comme tous les photographes), je décide de lancer mon entreprise et ainsi proposer pour votre mariage, un chasseur d’orage, astrophotographe, photographe officiel de Miss Lot & Garonne et enfin pilote de drone, en guise de photographe. 


C’est quand même un peu classe non ?


Voilà, la présentation faites, continuons.

LES ORIGINES

Étape 1 : Le coup de foudre

Les orages, ça, c'est ce qui m'a donné le goût de la photo. À pas plus de 14 ans, j'étais déjà sur la terrasse de mes parents à tenter de capturer un éclair avec leur vieil appareil photo bridge tout claqué. 15 ans après, je n'ai toujours pas lâché ça et je suis chasseur d’orages. J’ai un amour profond pour la nature et surtout sa puissance, que personne ne peut maîtriser. Le goût du grandiose d’un impact de foudre imprimé sur ma rétine et mon capteur photo, c’est incroyable.

Étape 2 : Le Big Bang

Après l’achat de mon premier appareil, je me suis essayé à l’astrophotographie (la photo d’objets célestes, pas de tireuse de cartes). Passionné depuis toujours par l’espace, je découvre un nouveau monde très complexe mais qui donne des images à couper le souffle. En plus de la satisfaction d’en apprendre encore plus sur notre ciel, j’entre dans le dur de la photographie et cela me permet de parfaitement maîtriser le côté technique pur de la photo. Puis je me suis mis à l'exploration urbaine (URBEX) qui consiste à explorer des endroits abandonnés. Cela m'a appris la photo d'architecture et à aiguiser mon sens artistique et du détail. Et me faire flipper quand un mec aussi discret que moi passait dans le fond d'un couloir sombre.

Étape 3 : Le décollage

Mais ce n’était pas suffisant pour remplir mon désir de nouveautés… Au détour d'une vidéo YouTube, je découvre le drone. Je vais sur Amazon et je claque mes économies dans un Phantom 3. On n’a qu'une vie alors voilà. Et là, c'est l'explosion de créativité. Pouvoir voir en direct, contrôlé par moi même, une vue du ciel… Une sensation exceptionnelle. Étant en même temps passionné d'histoire, je me mets à photographier des endroits importants de mon coin, des châteaux, des villes, des forêts, avec un point de vue très rare en 2015, me permettant de progresser de plus en plus dans mes compositions photographiques.


Étape 1 : Le coup de foudre

Les orages, ça, c'est ce qui m'a donné le goût de la photo. À pas plus de 14 ans, j'étais déjà sur la terrasse de mes parents à tenter de capturer un éclair avec leur vieil appareil photo bridge tout claqué. 15 ans après, je n'ai toujours pas lâché ça et je suis chasseur d’orages. J’ai un amour profond pour la nature et surtout sa puissance, que personne ne peut maîtriser. Le goût du grandiose d’un impact de foudre imprimé sur ma rétine et mon capteur photo, c’est incroyable.



Étape 2 : Le Big Bang

Après l’achat de mon premier appareil, je me suis essayé à l’astrophotographie (la photo d’objets célestes, pas de tireuse de cartes). Passionné depuis toujours par l’espace, je découvre un nouveau monde très complexe mais qui donne des images à couper le souffle. En plus de la satisfaction d’en apprendre encore plus sur notre ciel, j’entre dans le dur de la photographie et cela me permet de parfaitement maîtriser le côté technique pur de la photo. Puis je me suis mis à l'exploration urbaine (URBEX) qui consiste à explorer des endroits abandonnés. Cela m'a appris la photo d'architecture et à aiguiser mon sens artistique et du détail. Et me faire flipper quand un mec aussi discret que moi passait dans le fond d'un couloir sombre.



Étape 3 : Le décollage

Mais ce n’était pas suffisant pour remplir mon désir de nouveautés… Au détour d'une vidéo YouTube, je découvre le drone. Je vais sur Amazon et je claque mes économies dans un Phantom 3. On n’a qu'une vie alors voilà. Et là, c'est l'explosion de créativité. Pouvoir voir en direct, contrôlé par moi même, une vue du ciel… Une sensation exceptionnelle. Étant en même temps passionné d'histoire, je me mets à photographier des endroits importants de mon coin, des châteaux, des villes, des forêts, avec un point de vue très rare en 2015, me permettant de progresser de plus en plus dans mes compositions photographiques.


POURQUOI ?

BON, ET LES MARIAGES ?

Je me lance donc dans la photo de mariage.


Pour moi, le mariage, ça reste une grosse fête. On célèbre un truc quand même ! Et ça, je veux le ressentir sur les photos. Je veux que dans vingt ans, quand tu ouvriras ton album, les photos t’arrachent à la fois une larme et un sourire.

Une larme quand tu vois la photo de papa, maman, parrain machin, ou tata truc, rouge pivoine tellement ils se retiennent de pleurer, et un sourire pour le frangin, le beau-frère, ou le tonton en train de faire le guignol.


Pour parler un peu de mon style photographique.


Comme je le disais, c’est, pour commencer, du reportage pur. Parce que les gens ne sont pas des acteurs nés. À vrai dire, ils sont même assez mauvais pour ça en général. Alors quand on ne les fait pas poser, ils sont beaucoup plus beaux.

Ensuite, je shoote beaucoup de près… de très près. Très souvent au grand-angle. Parce que quand on est près de l’action, ça la dynamise, ça la rend vivante.


Notons ensuite que je shoote souvent les mômes. Parce qu’ils font toujours des trucs marrants ou kro meugnons, et que ça rend bien sur les photos. Et puis eux dans 10 ans, ils l'auront bien oublié le mariage.


Sinon, aux mariages, il y a toujours des invités photographes. Que ce soit avec un gros reflex ou un smartphone, ils shootent toute la journée. Il y a des photographes de mariage qui interdisent la présence d’autres photographes. Moi, je m’en fous. Je dirais même que j’aime bien. C’est une source d’inspiration. Par contre, soyez prévenus, en général, je leur pourris les photos, soit parce que ce sont eux que je photographie, soit parce que je suis dans leur cadre. Mais je m’en fous, tant que la mienne est bonne !


Pour finir, je dirais que je fais pas mal de couleurs. Je réserve le noir et blanc aux images vraiment graphiques, ou si les couleurs ne sont vraiment pas top (genre une église avec des murs jaunasse qui auraient du être repeints il y a 30 ans) , ou encore si un élément coloré vient perturber ma composition.

Le noir et blanc me sert aussi à faire passer une émotion plus fortement.

Si je devais définir mon traitement d’images, je dirais : lumineux pour les tons, douces et naturelles pour les couleurs, drôles et dynamiques pour les scènes.

Pour le noir et blanc, il n'est pas basique, je le travaille avec des tons un peu charbon et souvent avec des tons éclatants pour les lumières.


Attention, je ne fais pas de retouche type magasine, ou rien n'est vrai.

Je veux du naturel.

Quand je parle de traitement, je développe mes photos,. Je tri, peaufine la colorimétrie et mon cadrage.


Ah oui, et je n'utilise quasiment jamais de flash. Je préfère une image granuleuse à la lumière crue du flash. Il n’y a qu’en soirée que je peux les utiliser (parfois !). Sinon, pas de flash.


Je me déplace en permanence avec des appareils photo et objectifs professionnels, en double, afin de parer toute panne ou casse du matériel.

Je me lance donc dans la photo de mariage.


Pour moi, le mariage, ça reste une grosse fête. On célèbre un truc quand même ! Et ça, je veux le ressentir sur les photos. Je veux que dans vingt ans, quand tu ouvriras ton album, les photos t’arrachent à la fois une larme et un sourire.

Une larme quand tu vois la photo de papa, maman, parrain machin, ou tata truc, rouge pivoine tellement ils se retiennent de pleurer, et un sourire pour le frangin, le beau-frère, ou le tonton en train de faire le guignol.


Pour parler un peu de mon style photographique.


Comme je le disais, c’est, pour commencer, du reportage pur. Parce que les gens ne sont pas des acteurs nés. À vrai dire, ils sont même assez mauvais pour ça en général. Alors quand on ne les fait pas poser, ils sont beaucoup plus beaux.

Ensuite, je shoote beaucoup de près… de très près. Très souvent au grand-angle. Parce que quand on est près de l’action, ça la dynamise, ça la rend vivante.


Notons ensuite que je shoote souvent les mômes. Parce qu’ils font toujours des trucs marrants ou kro meugnons, et que ça rend bien sur les photos. Et puis eux dans 10 ans, ils l'auront bien oublié le mariage.


Sinon, aux mariages, il y a toujours des invités photographes. Que ce soit avec un gros reflex ou un smartphone, ils shootent toute la journée. Il y a des photographes de mariage qui interdisent la présence d’autres photographes. Moi, je m’en fous. Je dirais même que j’aime bien. C’est une source d’inspiration. Par contre, soyez prévenus, en général, je leur pourris les photos, soit parce que ce sont eux que je photographie, soit parce que je suis dans leur cadre. Mais je m’en fous, tant que la mienne est bonne !


Pour finir, je dirais que je fais pas mal de couleurs. Je réserve le noir et blanc aux images vraiment graphiques, ou si les couleurs ne sont vraiment pas top (genre une église avec des murs jaunasse qui auraient du être repeints il y a 30 ans) , ou encore si un élément coloré vient perturber ma composition.

Le noir et blanc me sert aussi à faire passer une émotion plus fortement.

Si je devais définir mon traitement d’images, je dirais : lumineux pour les tons, douces et naturelles pour les couleurs, drôles et dynamiques pour les scènes.

Pour le noir et blanc, il n'est pas basique, je le travaille avec des tons un peu charbon et souvent avec des tons éclatants pour les lumières.


Attention, je ne fais pas de retouche type magasine, ou rien n'est vrai.

Je veux du naturel.

Quand je parle de traitement, je développe mes photos,. Je tri, peaufine la colorimétrie et mon cadrage.


Ah oui, et je n'utilise quasiment jamais de flash. Je préfère une image granuleuse à la lumière crue du flash. Il n’y a qu’en soirée que je les utilise (parfois !). Sinon, pas de flash.


Je me déplace en permanence avec des appareils photo et objectifs professionnels, en double, afin de parer toute panne ou casse du matériel.


LES PRESTATIONS



Pour mes prestations, je propose des formules qui portent le nom de pierres précieuses, qui définissent les moments où je serais présent sur votre mariage. 
Les préparatifs (maquillage, habillage etc), la mairie, cérémonie (religieuse ou laïque), vin d’honneur (avec photos de groupes), photos de couple, le repas (photos des tables, ouverture de bal, gâteau etc), le brunch du lendemain midi et des séances « Day After » pour des photos de couple en tenue de mariage quelques jours après votre grand jour.

Ma première formule est la « GRENAT » et démarre à 987 €.

Contactez-moi afin de définir, ensemble, une formule adaptée à votre projet et à vos envies.


À tout ceci, vient s’ajouter des séances photos particulières et qui sont ma spécialité, comme des séances photos sous la Voie lactée pour des images extraordinaires et uniques.

Vous aurez aussi la possibilité de commander des livres photos haut de gamme et tirages photos, entièrement fabriqués en France. 
Mais nous verrons tout ceci ensemble.


Mon approche de la photo et mon expérience vous intéresse ?

Cliquez sur le bouton qui suit et commençons à créer votre projet, ensemble, pour votre plus belle journée.


C’EST PARTI !
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